jeudi 5 novembre 2009

PREMIERS TRAVAUX REALISES

Les W.C marins ont été enlévés par l'ancien propriétaire pour une raison que j'ignore mais que j'imagine : une grosse commission restée coincée accompagnée du bon air marin qui va avec...

Même si les conséquences directes d'une telle situation ne sont plus nuisibles actuellement, il en reste cependant les vestiges, a savoir les deux vannes d'arrivée et de sortie d'eau en laiton. Elles sont rouillées, grippées et ne peuvent donc plus étre utilisées. De plus leur état laisse planer un doute sur leur étancheïté.

Une alternative est donc possible : remplacer les deux vannes et remettre un WC marin, ou tout simplement tout supprimer.

La seconde possibilité me convenait mieux. J'ai donc "sauté" les deux vannes, laissant apparaitre deux trous dans la coque. L'opération à ce stade était donc de tout reboucher. Résine, mat de verre, resine, mat de verre, Gelcoat en plusieurs couches et 4 à 5 pinceaux (merci Catena) m'ont permis de tout reboucher proprement.

Rebouchage côté extérieur
(il ne reste plus qu'un ponçage de Gelcoat à l'eau a faire)


Rebouchage coté intérieur

FINI LES PROBLEMES DE TOILETTES
(le sceau plastique ne tombe jamais en panne)

Comme cette opération délicate s'est parfaitement déroulée, je vais continuer sur la lancée. J'ai demonté dans le cockpit le Speedo d'origine qui a été remplacé depuis un moment par du matériel électronique plus moderne.
Il ne me dérangeait pas en place, mais à l'échouage par forte pluie, l'eau arrivait a rentrer lègèrement à l'intérieur car restait stagner sur le speedo.
Je l'ai donc enlever et vais reboucher l'orifice de la même façon. J'en profiterai pour revoir le gelcoat de part et d'autre de la poignée de chaine de dérive (voir photo). C'est a cet endroit également que se situe l'acheminement de l'eau vers le trou de l'autovideur.


Il reste donc a reboucher le trou de cloison de 90 m/m de diamétre : un jeu !

Par ailleurs, comme j'avais ouvert un pôt de peinture pour faire un essai sur le fond du bateau, j'ai profité pour utiliser le reste sur le plafond de la cabine avant. La peinture existante était bien adhérente mais sale avec des traces noires d'humidité et la  rouille de la quincaillerie de l'accastillage du pont.


Un simple lessivage, deux couches de peinture, et voilà la travail !

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